[Challenge] Challenge de l'été 2016 [terminé]

[pwachevski]

Je vu mon deuxième film, pour le continent asiatique : Jodhaa Akbar d'Ashutosh Gowariker, qui est un film indien.

Ce film trainait depuis un siècle dans ma PAV sans que je me décide à le voir, ses 3h30 m'effrayant un peu. Ce challenge était l'occasion d'enfin me lancer, et je ne le regrette pas.
Je ne connais pas bien le cinéma indien, du coup je sais pas si c'est parce que je ne suis pas habitué à ce style que je pense ça, mais j'ai trouvé ce film super kitch. Voire même ridicule dans certaines scènes. Du coup, parfois pas très crédible. J'ai néanmoins apprécié la richesse de la réalisation (décors, costumes, paysages, couleurs, scènes musicales,...). J'ai aussi et surtout trouvé ce film distrayant et donc tout simplement agréable à regarder malgré ses défauts. Au final, il me laisse une impression positive, et je reverrais avec plaisir d'autres films de cette nationalité pour mieux connaitre ce cinéma. J'ai hésité un moment entre les listes bronze et argent, pour finalement mettre le film dans ma liste argent.

Me revoilà pour vous parler d'un nouveau continent : L'Océanie ! J'ai donc atterrit en Australie, avec le film d'animation Mary et Max d'Adam Eliott, sorti en 2009 et récompensé au festival international d'animation d'Annecy.

J'avoue que je connaissais pas ce film, mais il a l'air bien sympathique. Je pense que je le regarderais un jour

[VERTVERONESE]

J'avoue que je connaissais pas ce film, mais il a l'air bien sympathique. Je pense que je le regarderais un jour

Je te le conseille vivement, parce que vraiment, il va te toucher en plein coeur et te faire sourire tu me diras ce que tu en as pensé si tu le regardes un jour !

Bonne soirée à tous

[Eparm12]

Film numéro 6 : L'Hypnotiseur de Lasse Hallström.

Je suis fascinée par tout ce qui touche de près ou de loin à la psychologie et à la psychanalyse, alors il n’y a rien d’étonnant à ce que l’art de l’hypnose en fasse partie intégrante. Par conséquent, je me suis tournée vers ce film, dont l’affiche me faisait de l'œil depuis trop longtemps déjà et que j’avais très envie de regarder dès le jour où je l’ai découvert. Bien m’en a pris, parce qu’il s’agit d’un thriller sympathique. Il s’avère classique et ne renouvelle aucunement le genre, mais j’ai été accrochée par ce thème qu’est l’hypnose qu'il manie judicieusement ici. L’hypnose est réellement un concept, quoique discutable, que j’adore. Et au-delà de cet aspect, il faut reconnaître que l’ensemble est soigné et rend bien à l’écran. Je n’ai pas lu le livre, alors je n’établirai aucune comparaison entre l’œuvre littéraire originale et l’adaptation cinématographique, et me baserai uniquement sur ce que j’ai vu dans la suite de mon commentaire, pas plus que je ne relierai ce film à la saga Millénium, même s’ils sont tous deux suédois.

En premier lieu, j’avoue que je ne sais pas trop quoi penser de Lasse Hallström. Ce réalisateur est connu pour ses films à l’eau de rose, films qui me rebutent, mais j’avais bien aimé son Chocolat, mon appréciation ne tenant pas seulement compte du fait que Johnny y joue, non. Il m’avait plu lors de mon visionnage parce que le thème du chocolat m’a plu également. En somme, si j’adhère aux films de ce réalisateur, c’est bien parce qu’il sait scrupuleusement choisir ses thèmes et les exploiter. Attention, je ne suis pas en train de le discréditer, au contraire : en principe, je n’aime pas les romances, sachant qu’il est une référence dans le genre, alors il est légitime que je sois sceptique à son sujet, ce qui ne veut pas dire qu’il n’est pas bon dans ce qu’il fait ou plus largement dans son domaine. Voilà pourquoi j’ai été perplexe lorsque j’ai aperçu son nom inscrit sur l’affiche. Avec ce film, Lasse Hallström se détache des romances au profit de la réalisation d’un thriller très sombre similaire à Millénium d’après les critiques que j’ai lues sur d’autres sites, et je dois dire qu’il m’a surprise dans le bon comme dans le mauvais sens du terme, parce qu’encore une fois, son film est bien fait mais manque d’audace et de profondeur, notamment au travers des personnages, qui sont travaillés mais pas assez.
Ils sont tous plus ou moins originaux mais fades, les criminels pris en compte, car il leur manque un petit quelque chose pour qu’ils soient véritablement marquants et que l’on puisse les apprécier ou les détester davantage. Ceci dit, le film est malin et il est simple de ressentir de l’empathie à leur égard. Les scènes émouvantes sont émouvantes, c’est-à-dire qu’elles ne basculent pas dans le larmoyant ou le pathétique. Les relations qu’entretiennent les personnages sonnent justes mais sont une fois de plus certainement superficielles pour un thriller à tendances psychologiques. On sent qu’il y a eu du travail effectué en amont sur les différents personnages, mais qu’il s’agit d’un travail artificiel qui aurait gagné à être globalement plus creusé et développé.

Cependant, au-delà de cette dimension ratée, je considère que le reste est bien écrit, notamment l’enquête, bien construite, cohérente et qui nous guide logiquement jusqu’au coupable, se terminant avec quelques rebondissements prévisibles mais un retournement de situation percutant dans son cheminement. De plus, l’ambiance du film est bien instaurée car son ton nous ait donné d’entrée de jeu, se révèle prenante et assez angoissante, et je dois avouer que j’étais tendue pendant le visionnage, ce qui relève de l’exploit, la faute à des scènes très dures que j’ai eu du mal à regarder. Mais la vision des choses que nous présente le film est modérée et il ne verse pas dans l’ultra-violence. Il ne maquille pas l’horreur de ce qui s’est produit lors du massacre de la famille, mais il nous le montre rapidement de manière saccadée, presqu’épileptique, ce qui m’a mise franchement mal à l’aise face au comment du pourquoi ils ont été assassinés. Une abomination.

Enfin, comme je le précise déjà plus haut, Lasse Hallström n'est pas n'importe qui : son film est paradoxalement agréable à regarder, parce que la photographie et les plans sont très beaux, et les mouvements de caméra précis. On pressent qu’il a une patte caractéristique qui même si elle s’appose de manière ténue sur son film, se perçoit. Sa réalisation est maîtrisée voire millimétrée. La mise en scène est intéressante, bien exécutée, et les acteurs sont bons ! Le casting, qui m’était totalement inconnu, n’est pas extraordinaire mais bon et très crédible ; j’ai adoré les trois acteurs principaux, l’hypnotiseur, sa femme et le policier. La bande-son est magnifique et les dialogues sont bien écrits.

En conclusion, ce thriller en vaut d’autres car il est trop classique et manque de relief à mon goût, mais il est de qualité et le thème de l’hypnose intriguant. Le tout n’est pas mauvais et je le conseillerai volontiers à tout amateur de phénomènes psychiques et plus largement à ceux aimant les thrillers, car il y a moyen de passer un bon moment devant si l’on accepte de se laisser prendre au jeu, comme lorsque l’on convient après délibération que l’on peut se faire hypnotiser si l’on a confiance en la personne qui tente de le faire.

PS : le rythme est lent, peut-être un peu trop, mais il contribue à la pose de l’atmosphère et la montée en puissance de la tension.

Liste de bronze.

@OnlyLola : je me sens moins seule concernant ma faible appréciation de Hero, haha. Et merci beaucoup pour ton compliment, il m'a fait très plaisir. Au fait, j'ai lu tous tes commentaires un par un alors je dois être une folle, même si je les ai trouvés très bien écrits et intéressants sans être un calvaire à prendre le temps de découvrir. Et je te félicite pour ta victoire! Tu as terminé le challenge en un temps record!

[pwachevski]

Film numéro 6 : L'Hypnotiseur de Lasse Hallström.

Numéro 6 ? On a un problème de décompte là Je ne peux te considérer comme validés que 4 films pour le moment, puisque tu n'as posté que 4 commentaires. Pense à commenter les deux autres films que tu as vu, sinon tu les aura un peu vu pour rien

Je te le conseille vivement, parce que vraiment, il va te toucher en plein coeur et te faire sourire tu me diras ce que tu en as pensé si tu le regardes un jour !

Je le verrais peut-être dans le cadre de ce challenge qui sait


J'ai vu mon troisième film, un film Hongkongais, The Grandmaster de Wong Kar Wai. J'avais pas prévu de voir ce film au départ, mais il passait hier à la télé et le hasard fait qu'il puisse me servir dans le cadre de ce challenge.

Alors je dois dire que je suis pas vraiment emballée. Je trouve que le scénario de ce film ne vaut pas une cacahuète. C'est un biopic très peu convainquant d'Ip Man, parce qu'on se concentre sur un passage trop réduit de sa vie et qu'il apparait qu'assez peu à l'écran. C'est pas original puisque c'est la nième adaptation de la vie de ce maitre de kung-fu. Les techniques de narrations sont ringardes (voix-off, texte à l'écran qui te raconte l'histoire, envolées philosophiques des personnages) et rendent en plus le film inutilement compliqué.
Les films d'art martiaux ne sont pas un genre de film que j'apprécie, et c'est pas ce film qui me fera changer d'avis quoi. Malgré tout, je tiens à souligner le fait que les images sont absolument magnifiques, de ce point de vu là, c'est vraiment un plaisir à regarder. Les scènes de combats sont bien menées par le réalisateur, qui a su les rendre lisibles. Par contre, il y a d'insupportable ralentis un peu partout dans le film (et pas seulement dans les scènes de combat, c'est ça le plus étrange).
J'ai aussi de la sympathie pour le personnage secondaire de Gong Er, qui a mon sens vole la vedette au soi-disant personnage principal, Ip Man. Son histoire a su m'intéresser et me toucher.
J'ai mis le film dans ma liste vu aussi.

[Eparm12]

Les numéros me servent de repère parce qu'ils indiquent uniquement dans quel ordre je les ai vus lors du challenge. J'y penserai mais ils ne m'inspirent pas pour le moment, alors je les commenterai plus tard. Et puis je t'avoue que j'ai la flemme de le faire mais que tu pourras sans problème les prendre en compte avant la fin du challenge.

Mary et Max m'intrigue beaucoup, j'aimerais bien le voir aussi!

J'ai vu The Grandmaster il y a longtemps, résultat, je ne m'en souviens plus, mais comme toi, il ne m'a pas du tout marquée contrairement aux Ip Man qui oscillent constamment entre ma liste de bronze et la vu aussi chez moi, alors je comprends parfaitement ton classement et je pense le rajouter dans ma cinéthèque bientôt.

[pwachevski]

Les numéros me servent de repère parce qu'ils indiquent uniquement dans quel ordre je les ai vus lors du challenge. J'y penserai mais ils ne m'inspirent pas pour le moment, alors je les commenterai plus tard. Et puis je t'avoue que j'ai la flemme de le faire mais que tu pourras sans problème les prendre en compte avant la fin du challenge.

Ah d'accord, c'est donc le 6ième films que tu as vu, mais le 4ième que tu as commenté, c'est ce que j'avais cru comprendre en effet. Moi qui dois tenir les comptes ça m'a un peu embrouillé Je savais plus trop combien de film tu avais vu parce que ça correspondait pas à mon propre décompte des points. J'ai refait tout le forum pour recompter tes commentaires ^^' Mais après il y a pas de problème ni d'urgence, tu commentes les films quand tu veux Je voulais juste te prévenir qu'il fallait vraiment le faire pour que le challenge soit considéré comme validé, pour pas que tu ais de mauvaise surprise par la suite.
Peut-être juste, du coup, les mettre d'une couleur différente dans ton message récapitulatif pour pas que je me fasse avoir à nouveau ? Je sais pas, par exemple vert pour les films vus et commentés, et orange pour les films vus mais pas encore commentés ?

J'ai vu The Grandmaster il y a longtemps, résultat, je ne m'en souviens plus, mais comme toi, il ne m'a pas du tout marquée contrairement aux Ip Man qui oscillent constamment entre ma liste de bronze et la vu aussi chez moi, alors je comprends parfaitement ton classement et je pense le rajouter dans ma cinéthèque bientôt.

Ah bah c'est marrant moi c'est le film Ip Man que j'ai vu il y a longtemps et dont je me souviens plus J'ai les deux films en liste vu aussi du coup.
A vrai dire, j'ai hésité avec la liste bronze pour The Grandmaster, parce que les images sont vraiment parfaites. Mais les ralentis insupportables m'ont convaincu de mettre le film en vu aussi finalement.

[Eparm12]

Oh mince, désolée! Excuse-moi. Oui, bien sûr, j'irai de ce pas modifier la couleur!

L'inverse! x) D'accord, bon bah ils sont bons pour demeurer dans cette liste le temps que je les revois.
C'est vrai que toi et les ralentis... C'est dommage, parce que j'ai lu ton commentaire en entier posté sur le film et que l'excellent visuel soit gâché par cette surabondance de techniques ringardes. J'espère que les prochains films que tu verras lors de ton challenge te plairont davantage que celui-ci, et si jamais tu en regardes d'autres du même style, je ne te conseillerai pas spécialement Hero, parce qu'il y a également trop de ralentis dans ce film même si le visuel est une fois de plus parfait.

[pwachevski]

Pas de problème t'inquiète pas. Merci d'avoir changé les couleurs, j'y vois un peu plus claire

Déjà que je n'aime pas les ralentis à la base, là en plus il y en a TOUT LE TEMPS, même quand les personnages mangent de la soupe. Probablement pour souligner la beauté de leur mouvement de cuillère et des schluuuurp quand ils aspirent leur soupe... J'espère aussi que je verrais des films meilleurs dans le cadre de ce challenge, mais je m'inquiète pas trop, c'est que des films qui me font envie, ils ne peuvent pas tous me décevoir quand même.
Je crois que j'ai ma dose de film d'art martiaux pour 10 ans, donc je ne pense pas voir Hero, et encore moins s'il est aussi ringard que The Grandmaster

[Eparm12]

Je t'en prie.
Haha! x) Oui, si ce ne sont que des films de tes envies, il est clair qu'il y en aura forcément dans le lot qui te plairont. ^^
Tu fais bien.

Film numéro 5 : Zombie Ass : The Toilet of the Dead de Noboru Igushi.

Avis à la populace : ne regardez jamais, AU GRAND JAMAIS, ce film.

Ce film, que dis-je, ce chef-d’œuvre, ce monument, incarnant la quintessence du nanar japonais.

Avant toute chose : non. Non, non et non. NON.
Non, je ne suis pas ce que l’on pourrait communément désigner comme étant une amatrice de nanars, et non, ce film n’est pas simplement mauvais mais plus que mauvais, dépassant largement ce stade et de loin. Je pense… Non, je crois fermement que le genre du nanar touche le fond ou se révèle être à l’apogée de son art (dépendance des goûts) avec Zombie Ass. Sérieusement, rien que le titre est une joke. Cependant, si je n’apprécie pas spécialement de visionner ces… « Productions », je croyais qu’elles étaient tout de même régies par des limites. Un, deux, trois, test, j’avais tort. J’ai appris à mes dépends qu’il n’y a aucune limite dans un nanar, et qu’il ne s’en imposera jamais (j’aurais dû retenir la leçon après avoir regardé Le Terroriste ou Hitman the Cobra en VO, et ce n’est pas faute d’avoir tenté, pourtant). Jusqu’au point culminant où les termes « nanar » et « limite » agissent l’un contre l’autre tels des oxymores (on ne sent pas du tout la fille qui a récemment passé son épreuve anticipée de français du bac, nooon, absolument paaas). Bref, j’ai regardé ce film en fin de soirée et en compagnie de potes complètement barges qui m’y ont forcée, ce qui justifie le pourquoi du comment je me suis retrouvée plantée devant alors que je n’en avais ABSOLUMENT aucune envie.

Tout d’abord, le synopsis de Zombie Ass est brillant, si brillant, qu’il renouvelle le mythe du zombie avec goût (ironie, quand tu nous tiens). Mais oui, vous savez, ces zombies sortant tout droit des chiottes publics dans lesquels l’éclairage est certainement bien meilleur que celui du visuel dégueulasse, zombies parfumés de merde et dont des tentacules transgéniques greffées d’un cerveau humain miniature leur éclate littéralement tour à tour l’anus avant d’attaquer les personnes encore saines d’esprit et sauves qu’ils croisent, ayant le grand malheur de les croiser.
Par ailleurs, ne mangez pas avant de regarder Zombie Ass ; ni pendant, ni après. Ceci n’est pas un conseil qui vous est donné par une âme charitable, mais une consigne, un ordre d’une trauma de la vie qui n’a plus rien à perdre, et surtout pas du temps ni des neurones, atomisés pendant le visionnage. Parce que si vous osez braver cette interdiction, soyez sûrs de recracher tout ce que vous viendriez d’avaler dans la seconde, étant donné le rendu immonde de ce massacre alors qu’il est tellement vrai et réalisé par un pauvre gars s’imaginant que son film est le sacré saint Graal ! L’ensemble est trash et dégoûtant, notamment au travers des énormes pets propulseurs à la Jetpack lâchés par des personnages constipés aux expressions faciales et verbales surréalistes. Les acteurs ne sont pas des acteurs, et je devine sans mal qu’ils ont été pêchés dans l’océan de gens marchant tous les jours dans les rues, japonaises de préférence.

La réalisation, si l’on peut encore qualifier de réalisation ces mouvements de caméra maniée par un enfant de quatre ans et demi, est rehaussée d’un montage alliant rapidité, précision et efficacité n’ayant rien à envier au savoir-faire d’Akira Kurosawa, d’un doublage subtil et avant-gardiste, développant un nouveau concept, celui de se superposer à l’image lorsque les lèvres des acteurs ne bougent pas, de bruitages tranchants d’une petite Black Mamba asiatique en habit d’écolière alors qu’elle ne manie pas de katana ni aucune autre arme si ce ne sont ses bras et ses jambes aussi aiguisés que des lames, et de scènes de combat épiques entre le répliqua du Club des 5 et les zomerdes : Black Mamba 2.0, l’intello débile à lunettes, la pétasse zombifiée du doux et délicieux nom de Maki, bouffeuse de vers et par conséquent à l’origine de tout ce bordel, sans oublier le fait qu’elle se tape la racaille de bac à sable toxicomane qui se révèle être le copain de la mignonne innocente VS. un scientifique incestueux infectant sa propre fille devenue entretemps un zombie et sa horde de ces créatures fécales prêtes à tout anéantir sur leur passage.
Il n’y a pas de suspens et la musique est... Y avait-il de la musique ? C’est simple, je ne m’en souviens pas, pas même du moindre petit air que j’aurais pu entendre durant le film.

En somme, il s’agit ni plus ni moins que d’un nanar, et je reconnais volontiers avoir été prise de crises de fou rire quand je n’étais pas atterrée par ce que je regardais.

PS : l’épée, c’est has been.

Liste PAS APPRECIE.

[Moridiin]

+2
J'ai fini l'Europe !

EDIT : +1
Plus qu'un !

EDIT 2 : voilà j'ai fini !
Enfin, fini, c'est vite dit parce que si c'est possible, j'aimerais bien rempiler ? ^^
Cette fois pour un III.A.1 (Mode Globe-Trotteur, Baroudeur + Mal du Pays Amérique, niveau Facile)
Merci

EDIT 3 : bon, j'ai officiellement rempilé, avec un film américain de plus au compteur.
J'ai l'impression que vider ma PAV revient à vider l'océan avec un dé à coudre mais bon ...